Il faut bien sur créer préalablement un volume physique et un groupe de volume. Le groupe de volume précédemment créé est vg. Un volume logique X est connu sous /dev/mapper/vg-X ou /dev/vg/X.

La machine doit héberger une dom0 xen. La machine tourne actuellement et je connais donc les tailles réellement utilisées.

root@router:~# df -h
Sys. de fichiers   Taille Utilisé Dispo Uti% Monté sur
/dev/mapper/vg-root  4,8G    1,9G  2,8G  40% /
udev                  10M       0   10M   0% /dev
tmpfs                388M    5,7M  382M   2% /run
tmpfs                968M       0  968M   0% /dev/shm
tmpfs                5,0M       0  5,0M   0% /run/lock
tmpfs                968M       0  968M   0% /sys/fs/cgroup
/dev/mapper/vg-tmp   2,0G    3,1M  1,8G   1% /tmp
/dev/mapper/vg-var    15G    501M   14G   4% /var
/dev/mapper/vg-bak   9,8G     23M  9,2G   1% /backup
tmpfs                194M       0  194M   0% /run/user/0
root@router:~# 

Au vue de l'utilisation actuelle, 4go est suffisant avec une marge de 50%

Il n'y a plus de problème à mettre /boot sur une partition LVM.

Cette partition est sujette à de grosses variations.

Si /tmp venait à grossir, il pourrait bloquer la machine s'il était sur la partition racine. Avec une partition séparée, seul les traitements en ayant besoin seront bloqués.

/var est sujette au même problème que /tmp à cause notamment des répertoires /var/tmp et /var/log.

/var accueille également une image mémoire des DomU démarrées en cas de reboot de la machine. Il faut donc prévoir l'espace de stockage correspondant.

Choix personnel pour stocker mes sauvegardes

# lvcreate -n tmp -L 20g vg
#

A répéter pour chaque volume logique.

Vous pouvez passer maintenant à l'installation via debootstrap